Seul Maxime Bernier a le courage de défendre les familles à la Chambre des communes.
Nos enfants sont endoctrinés à l'école et par les médias, les déviants et les pervers.
Le Canada est le seul pays en Occident à n'avoir aucune loi concernant l'avortement ou les droits des enfants à naître.
La taxe carbone, le plafonnement des engrais et les autres réglementations de l'Accord de Paris sur le climat nuisent gravement à nos agriculteurs.
Depuis des décennies, les propriétaires d'armes sont diabolisés et leurs droits sont bafoués. Trop c'est trop!
Les valeurs traditionnelles canadiennes sont quotidiennement attaquées par les marxistes culturels et la gauche radicale.
Maxime Bernier est un politicien courageux, qui s'appuie sur des principes et qui dit ce qu'il pense. Homme d'idées et de convictions, sa croyance en la responsabilité personnelle et en la liberté est au cœur de sa vision politique. Au cours de sa carrière politique, il a fait preuve d'un engagement inébranlable pour protéger et promouvoir la liberté et la prospérité des Canadiens.
M. Bernier est né le 18 janvier 1963 à St-Georges-de-Beauce. En 1985, il a obtenu un baccalauréat en commerce de l'Université du Québec à Montréal et a étudié le droit civil à l'Université d'Ottawa. Il a été admis au Barreau du Québec en 1990.
Au cours de sa carrière, M. Bernier s'est toujours intéressé au monde des affaires et a travaillé pour plusieurs institutions financières et bancaires avant de devenir vice-président exécutif de l'Institut économique de Montréal en 2005.
Plus tard, en 2005, des amis et des membres de sa famille l'ont encouragé à se lancer en politique, où ses idées sur la liberté, la responsabilité personnelle, le respect et l'équité pourraient trouver un terrain fertile. Il a relevé le défi et a été élu député de Beauce le 23 janvier 2006, avec la plus grande majorité en dehors de l'Alberta. Il a été nommé ministre de l'Industrie dans le cabinet de Stephen Harper.
Son succès dans la déréglementation d'importantes parties du secteur des télécommunications a incité le président du département des sciences politiques de l'Université McGill, le professeur Richard J. Schultz, à écrire: « En ce qui concerne ce qui est peut-être l'élément le plus important de son portefeuille, les télécommunications, il a été sans conteste le meilleur ministre de l'Industrie en trente ans. »
M. Bernier a été réélu dans la Beauce à trois reprises, en 2008, 2011 et 2015. Au cours de son mandat parlementaire, il a également occupé les postes de ministre des Affaires étrangères et de ministre d'État à la Petite Entreprise et au Tourisme.
En 2017, il s'est présenté à la direction du Parti conservateur du Canada et a été considéré par les médias et le soutien populaire comme le favori pour remporter la course. Dans un résultat final très controversé, M. Bernier est arrivé en deuxième position avec 49,05 % des voix lors du 13e et dernier tour de scrutin.
Estimant que le Parti conservateur était devenu trop intellectuellement et moralement corrompu pour être réformé, M. Bernier a quitté le parti le 23 août 2018 et a fondé le Parti populaire du Canada le 14 septembre 2018.
M. Bernier est le chef du Parti populaire du Canada depuis sa fondation en 2018. Il a défendu une vision positive et énergique pour le Canada qui se démarque du statu quo de l'establishment politique.
Pendant la pandémie de COVID-19 en 2020-2022, M. Bernier a été le porte-parole d'une grande partie de la population canadienne contre les politiques gouvernementales tyranniques. Dans sa lutte pour la liberté personnelle contre les excès extrêmes et inconstitutionnels du gouvernement, M. Bernier a reçu plusieurs amendes et a même été arrêté par la GRC le 11 juin 2021 à St-Pierre-Jolys, au Manitoba, après avoir organisé un rassemblement contre les restrictions inconstitutionnelles imposées par le Manitoba.
Aujourd'hui, Maxime Bernier est le seul politicien canadien crédible à s'exprimer sur les graves questions et préoccupations qui détermineront l'avenir du Canada et que l'establishment politique ignore complètement. Ces questions comprennent l'immigration de masse et l'identité canadienne, le culte Woke et l'influence des marxistes culturels et des gauchistes radicaux sur la société canadienne, ainsi que la dangereuse idéologie transgenre qui trouble et sexualise les enfants et qui est diffusée dans les écoles à travers le pays.
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